Coup de gueule !

C'est scandaleux!

Oui et tout aussi scandaleux cette histoire italienne !

Tollé en Italie: le maire d’une petite ville du nord propose de doubler son service de bus pour transporter… les roms! Le but: éviter les vols. Certains y voient de l’apartheid.

Le maire d’une petite ville du Piémont, dans le nord de l’Italie, a proposé des bus spéciaux pour les Roms de sa commune, une initiative qui a soulevé de vives critiques samedi de ses opposants qui y ont vu la ségrégation raciale autrefois en vigueur en Afrique du Sud.

Claudio Gambino, maire du Parti démocrate (PD – centre gauche) de Borgaro Torinese, a annoncé cette semaine vouloir des bus séparés pour les Roms parce que les quelque 600 Roms qui vivent dans un campement dans la banlieue de sa ville «nous dérangent depuis plus de 20 ans».

«Nous avons besoin de deux bus pour garantir la sécurité de nos citoyens. Un pour les citoyens, l’autre pour les Roms», a dit le maire, cité vendredi par les médias italiens, expliquant que des vols et des actes de petite délinquance se déroulaient à bord des bus de sa ville.

«Cela s’appelle de l’apartheid»

Le conseiller municipal Luigi Spinelli, du Parti Gauche, écologie et liberté (SEL) a soutenu cette initiative, provoquant la désapprobation du chef de son parti, Nichi Vendola, qui a déclaré samedi à La Stampa qu’ «accorder des droits différents aux gens, cela s’appelle de l’apartheid».

Vendola a appelé le maire de la commune d’un peu plus de 10.000 habitants à «reconsidérer» sa décision.

J'ai un gros coup de gueule

Si je comprends bien cette vidéo qui suit, cela veut dire que je ne peux pas refuser un traitement donc choisir mon traitement ou pas!!

Et ça, ça me fout les boules!!!!!!!!!!!!!! Ou est passé notre devise: LIBERTÉ, ÉGALITÉ, FRATERNITÉ?

C'est incroyable.

Allez savoir ce qu'ils doivent faire:
Le Roi Philippe, la Reine Mathilde et leurs enfants sont partis samedi de l’aéroport militaire de Melsbroek vers l’Indonésie, où ils doivent passer une dizaine de jours de vacances. Un voyage privé que le syndicat socialiste de l’armée n’apprécie pas car les souverains ont à nouveau utilisé un avion de la Défense .

Le Falcon de l’armée et son équipage doivent également rester sur place pendant dix jours, rapporte Het Nieuwsblad dimanche.

Le ministre de la Défense, Steven Vandeput, avait pourtant affirmé vouloir économiser sur ce type de voyages privés effectués à bord des avions de l’armée.

Interrogé par le quotidien, le cabinet du ministre a confirmé son intention, mais précisé que les économies débuteraient en 2015.

Le Roi n’a, en outre, aucune alternative ne peut voyager qu’à bord d’un avion de la Défense.

Pour stabiliser leur budget, les Français renoncent à se soigner

La somme que dépensent les Français pour se soigner est stable par rapport à l'an dernier. Mais ce calme apparent cache un corolaire peu réjouissant : beaucoup renoncent à certaines prestations de santé du fait de leur coût. En contrepartie, la recherche de soins de qualité est une considération de plus en plus importante.


Les Français pensent que leur budget augmente

59% des personnes interrogées ont le sentiment que leurs dépenses de santé sont plus importantes depuis deux ans. Impression fausse, puisque ces dernières années, elles ont légèrement baissé ! 61% des plus de 35 ans, contre 53% des moins de 35 ans, partagent ce sentiment de plus en plus commun : +1 point par rapport à 2014. A l'inverse, 34% observent une stabilité de leur budget, en particulier les hommes (37% contre 31% des femmes) et les hauts revenus (37% des foyers gagnant plus de 3.500 euros contre 31% des ménages les plus modestes).

518 euros à leur charge

Les sondés estiment le budget santé annuel restant à leur charge à 518 euros. C'est seulement 1% de moins que l'an dernier (523 euros), mais 9% de moins qu'en 2013 (570 euros). Derrière ce montant, les disparités sont fortes. Les plus de 35 ans déclarent allouer 548 euros annuels à leur santé, contre 440 euros pour leurs benjamins. Les foyers les plus aisés dépensent 762 euros de leur poche, contre 460 euros pour les ménages émargeant à moins de 999 euros par mois. Depuis le début du baromètre en 2012, ces écarts tendent néanmoins à se resserrer.

Un renoncement aux soins toujours plus important

Remettre à plus tard un acte voire y renoncer : de plus en plus de Français y sont confrontés. Si leur budget affiche une telle stabilité, ce paramètre n'y est pas étranger. Ainsi, 60% des sondés ont déjà été contraints d'abandonner une consultation médicale ou un achat santé pour des raisons pécuniaires. 47% ont renoncé à des lunettes, lentilles ou prothèses dentaires (+2 points), 33% ont laissé tomber une visite chez un spécialiste (+1 point) et, surtout, 12% ont abandonné ou repoussé une hospitalisation (+3 points).


Une quête de qualité

Les Français font certes attention à leur budget, mais ils ne prennent par pour autant leur santé à la légère. Parmi leurs solutions pour moins dépenser, 62% affirment acheter davantage de médicaments génériques (en net recul, -6 points) et 62% prônent la prévention pour ne pas tomber malade. 17% (-4 points) privilégient l'hôpital plutôt que le cabinet d'un médecin pour se soigner. Mais le coût ne fait pas tout : seuls 16% des sondés ont changé de médecin au profit d'un autre aux honoraires moins élevés (-2 points). Paradoxalement, les jeunes (55% des moins de 35 ans en consomment) sont plus méfiants que les séniors (72%) au sujet des génériques. Idem pour les foyers les plus modestes (53%), où l'achat de médicaments sans marque est moins répandu que chez les CSP+ (63%)

Le tourisme médical ne séduit pas

On en parlait beaucoup, le tourisme médical a fait pschitt. Les solutions proposées à l'étranger restent très marginales. Elles sont même en recul. 7% des Français ont ainsi acheté du petit matériel médical hors de nos frontières (-1 point), 6% ont acquis des lunettes, lentilles ou prothèses dentaires et 5% des médicaments à l'étranger ou sur Internet (-3 points). 3% des sondés ont enfin consulté un spécialiste ou se sont fait hospitaliser hors de France.

Le tiers payant plébiscité

Comme pour n'importe quelle dépense importante, les sondés n'hésitent plus à faire réaliser des devis avant de s'engager. 45% le font fréquemment, et 31% ont souscrit à une mutuelle qui rembourse mieux. Cheval de bataille de la loi de santé, le tiers payant généralisé séduit les Français. 56% pensent qu'il leur aurait évité de remettre à plus tard ou d'abandonner certains soins ! 22% estiment même avec certitude qu'il est une solution contre le renoncement. Ce sont les moins de 35 ans (71%) et les foyers le plus modestes (66%) qui sont le plus intimement convaincu de l'impact positif du tiers payant sur leurs pratiques médicales.

"Le Sofinscope - Baromètre OpinionWay pour Sofinco"

Je suis d'accord avec ce sondage, combien de personnes renoncent à cause de leur budget !!!!

Et voilà pourquoi certaines personnes en appellent d'autres les "sans-dent" !

nquante-cinq militaires se sont déployés jeudi matin à Liège, Huy et Verviers, principalement autour des bâtiments judiciaires, pour en assurer la sécurité. Leur mission fera l'objet d'une évaluation au bout d'un mois. Ils sont arrivés ce jeudi matin à Liège Drôle d’ambiance…


Opération anti-terroriste de grande ampleur en Belgique
Des militaires du 12e-13e de Liège de Spa, postés devant les bâtiments abritant la justice: c’est une réalité depuis ce jeudi matin. S’agit-il de rassurer la population et le personnel, de dissuader les terroristes potentiels, de sécuriser les bâtiments? Une telle présence militaire, dans un but de sécurisation, n’avait en tout cas plus eu lieu en Cité ardente depuis la grande grève de l’hiver 60-61.

Il s’agissait alors de se poster aux abords installations ferroviaires. Cette fois, ce sont les bâtiments de la justice qui sont protégés, à la demande des autorités liégeoises, dans le contexte du relèvement du niveau de menace terroriste par l’OCAM (Organe de coordination pour l’analyse de la menace).

Le bourgmestre Willy Demeyer (PS), pour rappel, a demandé 25 ou 26 militaires pour venir renforcer la police, déjà occupée à surveiller une série d’autres lieux à Liège. La Défense est donc concentrée autour du palais des Princes-Évêques, des deux nouvelles ailes du palais de justice, toutes proches, et du tribunal de police, du côté de la rue Saint-Gilles. Ce déploiement s’effectue sous le contrôle de la police de Liège et de son autorité administrative, le bourgmestre.

Alors que les militaires sont arrivés ce jeudi à 8h, les différents responsables se sont réunis pour organiser cette opération, qui devrait durer un mois, avant une éventuelle prolongation.

Des déploiements du même type ont également débuté à Verviers et Huy, ce jeudi.

Quant à savoir s'il serait possible de prévoir un renfort similaire dans d'autres villes, la réponse dépend du fédéral. "Notre intervention s'inscrit dans le cadre de l'accord entre les ministères de l'Intérieur et de la Défense, qui prévoit un déploiement de 300 militaires en Belgique. 120 sont déjà présents à Anvers, 120 à Bruxelles, et avec les 55 en province de Liège nous nous approchons des 300. Pour prévoir plus de monde, il faudrait que l'accord soit revu ou que des choix soient opérés."

C'est impensable qu'actuellement nous soyons heureux d'avoir des militaires armés déambuler ans nos silles.

Un boulanger poursuivi en justice pour être ouvert 7 jours sur 7



Le site internet de la boulangerie de Stéphane Cazenave l'annonce fièrement: il a reçu le prix de la meilleure baguette tradition de France en 2014, récompense suprême d'années de travail et de savoir-faire. Des baguettes qu'il vend sept jours sur sept dans sa boutique ouverte il y a trois ans à Saint-Paul-lès-Dax, dans les Landes. Ses 22 salariés bénéficient bien de leurs deux jours de repos hebdomadaires, mais le boulanger a reçu une convocation devant le tribunal.

Un arrêté préfectoral datant du 25 mars 1999 impose en effet aux boulangeries du département des Landes de fermer au public au moins un jour par semaine: «Dans l'ensemble des communes du département des Landes, tous les établissements, parties d'établissements, dépôts, fabricants artisanaux ou industriels, fixes et ambulants, employant ou non des salariés, dans lesquels s'effectue à titre principal ou accessoire la fabrication ou la vente au détail ou la distribution de pain, emballé ou non, et en règle générale tous les points de vente de pain, seront fermés au public et cesseront toute activité de cette nature un jour par semaine choisi librement par le chef d'entreprise. Cette fermeture doit s'entendre par journée complète de vingt-quatre consécutives de 0 heure à 24 heures».

En plein débat sur le travail du dimanche, deux inspections du travail sont donc venues lui rappeler cette obligation. Il est désormais obligé de fermer le lundi pour se conformer à la loi.

«Travailler n'est pas un délit en France»

Devant les caméras de France 3, Stéphane Cazenave admet être «très en colère», et a l'impression d'être «pris comme un petit voyou». «Je demande juste à travailler. Je pense que travailler n'est pas un délit en France». Selon lui, le jour de fermeture qui lui est imposé pourrait lui coûter autour de 250.000 euros, et l'obligerait à se séparer de plusieurs salariés. Un collectif de sept boulangers, soutenu par la chambre de commerce et d'industrie, s'est formé dans le département pour réclamer à la préfecture une table ronde.

Rien à voir mais je reviens à un coup de gueule
-- Une mère de famille a récemment été condamnée à quatre mois de prison avec sursis à cause de l’absentéisme répété de son fils scolarisé en classe de sixième. Une décision sans précédent.
Du jamais vu. La semaine dernière, été condamnée à quatre mois de prison avec sursis pour l’absentéisme scolaire de son fils. Elève en classe de sixième dans un collège d’Escaudain dans le Nord, le jeune Simon aurait eu des absences très répétées au cours de ses deux dernières années. Il ne serait "presque jamais venu" au cours de sa première année de sixième en 2012-2013, a rapporté le proviseur de l’établissement cité par le procureur de Valenciennes lors du procès. L’année d’après, et alors qu’il effectuait sa deuxième année de sixième, l’adolescent aurait manqué 79 demi-journées de cours au premier trimestre.

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Chez nous il y a très longtemps que les boulangeries et boucheries ferment le lundi.
Les client dont moi s'y sont habitués.

OK§mais qu'on laisse travailler ceux qui le veulent !

Il y a de ces bêtises !!!