L'Amitié et vous

Les peines qu'éprouvent nos amis nous affectent davantage que celles que nous éprouvons.

(Philippe Soupault)    

Quand tu donnes tu perçois plus que tu ne donnes, car tu n'étais rien et tu deviens.

(Antoine de Saint-Exupéry)

L’ornement d’une maison ce sont les amis qui la fréquentent.

(Ralph Waldo Emerson)

Oui ca fait longtemps que je ne vous ai vus, opérée le 10 septembre et retour à la maison ce
15 septembre. Votre amltié m'a fait grand plaisir.

"L'amitié, c'est une main qui te soutient, dans la douleur et le désarroi. C'est une oreille qui écoute, tantôt la peine, tantôt la joie. L'amitié, c'est un regard qui voit plus profond que ton âme sans jamais se faire juge. C'est un cœur qui s'ouvre et jamais ne se ferme, comme un refuge"

- auteur inconnu

C'est exactement cela l'Amitié  

Et ça fait du bien dans son coeur !       

Mais le renard revint à son idée :
- Ma vie est monotone. Je chasse les poules, les hommes me chassent. Toutes les poules se ressemblent, et tous les hommes se ressemblent. Je m'ennuie donc un peu. Mais, si tu m'apprivoises, ma vie sera comme ensoleillée. Je connaîtrai un bruit de pas qui sera différent de tous les autres. Les autres pas me font rentrer sous terre. Le tien m'appellera hors du terrier, comme une musique.
Et puis regarde! Tu vois, là-bas, les champs de blé ? Je ne mange pas de pain. Le blé pour moi est inutile. Les champs de blé ne me rappellent rien. Et ça, c'est triste ! Mais tu as des cheveux couleur d'or. Alors ce sera merveilleux quand tu m'auras apprivoisé ! Le blé, qui est doré, me fera souvenir de toi. Et j'aimerai le bruit du vent dans le blé... Le renard se tut et regarda longtemps le petit prince : - S'il te plaît... apprivoise-moi ! dit-il.
- Je veux bien, répondit le petit prince, mais je n'ai pas beaucoup de temps. J'ai des amis à découvrir et beaucoup de choses à connaître.
- On ne connaît que les choses que l'on apprivoise, dit le renard. Les hommes n'ont plus le temps de rien connaître. Ils achètent des choses toutes faites chez les marchands. Mais comme il n'existe point de marchands d'amis, les hommes n'ont plus d'amis. Si tu veux un ami, apprivoise-moi !
- Que faut-il faire ? dit le petit prince.
- Il faut être très patient, répondit le renard.
Tu t'assoiras d'abord un peu loin de moi, comme ça, dans l'herbe. Je te regarderai du coin de l'oeil et tu ne diras rien. Le langage est source de malentendus. Mais, chaque jour, tu pourras t'asseoir un peu plus près...

St Exupéry Le petit prince

C'est le passage qui relate la rencontre du Petit Prince et du renard
En Amitié , il faut s'apprivoiser .........être patient .........................et c'est un sentiment réciproque ............. kiss

Par voie de conséquence à tout ce que tu viens de décrire si joliment Mumu, c'est aussi une personne qui te devine.
En assemblée, elle va te regarder, te jeter un rapide coup d'oeil, lorsque tu vas être troublée, gênée, ou bien émue, heureuse !
Avant même que l'émotion ait pu se lire sur ton visage, son regard s'est tourné vers toi pour surveiller ta réaction..... vérifier que tout va bien..... être prête à intervenir si l'émotion débordait.     

L'amitié fait passer le bien-être de l'autre avant le sien.   

'amitié, source de joies mais aussi de déceptions ... C’est savoir partager, donner, accepter les défauts de l’autre et être à l’écoute quand tout va bien, mais surtout … quand rien ne va plus. Les relations humaines seront maintenant moins complexes.
Souhaiter un anniversaire, féliciter un ami pour la réussite de ses examens, soutenir un proche qui vient de tomber malade…
Beaucoup de situations peuvent nous amener à écrire une lettre à des personnes qui nous sont chères, mais il est parfois difficile de trouver les mots justes.

L'alphabet avec vous
A comme l’Affection que j’ai pour vous
B comme le Bien être que sans le soupçonner, vous m'apportez
C comme la Confiance que vous m'accordez
D comme la Douceur de mes pensées pour chacun de vous
E comme l’Envie de toujours mieux vous connaître
F comme la Folie douce en chacun de nous
G comme la Grandeur de nos échanges même si nous ne connaissons pas vraiment
H comme l’Humour de certains de vos commentaires
I comme l’Insouciance maîtrisée quand je suis à vos côtés
J comme le Joyau de tout ce qui fait vous
K comme le Kaki de mes yeux qui me font vous découvrir
L comme la Lourdeur du poids de mes maux que je tais
M comme la Magie étonnante qui règne ici
N comme la Naissance de belles amitiés que je nous souhaite éternelles
O comme l’Opéra fantastique de vos vies
P comme la Promesse de toujours m’intéresser à vous
Q comme la Quiétude chaque fois ressentie de me retrouver parmi vous
R comme la Richesse de tous vos personnalités
S comme mes Silences que vous avez la délicatesse de respecter
T comme la Timidité qui m'oblige trop souvent à me taire
U comme l’Utilité de vos mots qui me procurent tant de bien
V comme la Valeur de tout ce qui fait vous
W comme les Weekend passés sans vous
X comme les X raisons de venir chaque jour près de vous
Y comme mes Yeux avides de découvrir tout ce qui fait vous
Z comme mon « Zut! Il va falloir que j’y aille! » qui me rend triste de devoir vous quitter .....
Mu - avril 2014

C'est gentiment dit et c'est gentil de nous le dire !
Merci Mumu   

    

Joli et gentil chouchoute de mon coeur ,je te reconnais bien là.   

En ce jour de passage


Ou parvient le message


D’une grande fraternité


Pour toute l’humanité

Oubliez vos rancœurs


Ouvrez donc votre cœur


Nulle raison ne rapporte


Que l’amitié soit morte

Pensez-y dans vos cages


Dans vos nuits de mirage


Un sourire en partage


Fait plus que force et rage

Soyez fort et joyeux


Ouvrez donc grand vos yeux


Rien n’est plus important


Qu’un amour pénétrant

joli poème sur l'amitié Matri ... il est de toi ?

Non il n'est pas de moi et je le regrette, c'est un ami qui l'a reçu d'un de ses amis.

" Le temps ne te fait pas perdre tes amis, il te montre juste qui sont les vrais "
Quelqu'un a dit un jour "C'est dur de voir les personnes que l'on connait devenir des personnes que l'on connaissait". Quelqu'un d'autre a également dit : "Vient un jour où les meilleurs amis deviennent des amis, les amis deviennent des connaissances, et les connaissances des inconnus". Te souviens-tu de tous ces moments passés ensemble ? De nos mains qui se frôlaient, de nos rires qui se mélangeaient, de nos sourires qui se croisaient, te souviens-tu de tout ça ? Tout ça me manque, me manque tellement. C'est étrange, l'histoire de la vie. On passe du temps avec des gens, on les aime, on les voit tous les jours, on s'habitue à leur présence, à entendre leurs respirations mêlées aux nôtres, le son de leurs pas à côté des nôtres devient une douce mélodie qui nous suit partout, on n'y fait plus attention, c'est banal, c'est la normalité. Comme si tous les rires continuaient pour toujours. Nous pensons que ces moments seront éternels. Après tout, pourquoi changeraient-ils, puisque tout est si parfait ? Puis un jour, après quelques années, clac, on se réveille soudain comme d'une longue nuit : Plus rien n'est comme avant. Les pas à côtés des nôtres sont toujours là, mais ils ont changé. Les respirations sifflent toujours à vos oreilles, mais ce ne sont plus les mêmes. Et c'est la nostalgie qui nous prend à la gorge, ça fait un peu mal, comme si on était victime d'une crise d'asthme. Quand un chien meurt écrasé sous une voiture, il ne suffit pas d'aller en racheter un au magasin. Ce n'Iest pas le nouveau chien tout neuf que l'on veut, non, c'est cette espèce de sac à puce baveux qu'on aimait tellement dont on a besoin. Même s'il puait, finalement, il était plutôt chouette. C'est le même principe. Après la longue nuit, on se réveille, on se rend compte que tout a explosé. Les gens qu'on aimait tant ne sont plus là, de nouvelles têtes les ont remplacés. Mais où sont passés tous les vieux chiens baveux et puants ? On avait beau se plaindre de leurs défauts, on avait beau leur faire des reproches, ils avaient beau être soûlants et collants, finalement, qu'est-ce qu'on les aimait... Peut-être que c'est la loi. Peut-être que finalement, ça sera comme ça tout le temps. On rencontre quelqu'un, on l'apprécie, on s'attache, on l'aime, on s'habitue, on croit que tout est acquis. Et sournoisement, en fait, sans que personne ne s'en rende compte, on fait le chemin inverse... L'ivresse de l'amitié fait demi tour. Amour redevient de l'attachement, l'attachement redevient de l'affection, l'affection redevient de la sympathie, la sympathie redevient de l'indifférence. Il devait être vachement gentil, finalement, le mec qui a inventé ça. Il nous a permit de ne pas avoir mal tout de suite. Pourrions nous autant aimer les gens si nous savons à l'avance que nous allons les perdre ?