Le Tour de France avec Kiki..........

Tous les ans c'est pareil !
....... et tous les ans les journalistes demandent :
"alors....... peut-on attendre un Tour de France sans dopage cette année ?"

et coureurs, entraîneurs et organisateurs de répondre en choeur : Vouiiiiiiiiiiii....... bien sûuuuuuuuurrrrrrrr !!!!!



https://www.youtube.com/watch?v=J7bJQJa7piY&feature=player_detailpage#t=10s

A La Toussuire, Pierre Rolland s'impose en solitaire devant Thibaut Pinot et offre une deuxième victoire de suite à Europcar. Distancé, Cadel Evans a perdu son titre ce jeudi.Les Alpes sont son jardin, un paradoxe pour celui qui a grandi dans ce centre de la France plat comme une mer sans vent. Un peu moins d'un an après sa victoire à l'Alpe d'Huez, Pierre Rolland, 25 ans, est arrivé en solitaire à La Toussuire, dans la seule étape alpine de l'édition 2012. «Cette étape me hantait, a-t-il confié, ivre de bonheur. Ça fait six mois que j'en rêvais. Je suis allé au bout de moi-même, je n'avais plus de jambes, seulement la tête.» C'est un nouveau coup retentissant frappé par Europcar au lendemain du succès de Thomas Voeckler. C'est aussi un grand jour pour le cyclisme français puisque Thibaut Pinot a obtenu la deuxième place en battant Chris Froome dans le sprint du groupe Maillot Jaune, arrivé 55 secondes plus tard. Ce qui prévoit de belles luttes tricolores pour dix ans.
Rolland était à l'avant de la course dès la constitution d'un groupe de 25 coureurs échappés dans la montée du Col de la Madeleine (Hors-Catégorie), la première difficulté du jour, située 40 km après le départ à Albertville. «L'an dernier, j'avais gagné en la jouant tactique, expliquait-il. Là, il m'a fallu assumer car j'étais le favori dans l'échappée.» Il a d'abord bénéficié du «travail énorme» de Christophe Kern dans l'ascension du Col de la Croix de la Fer (Hors-Catégorie), ce qui a permis d'écrêter le groupe de tête. Passé en tête au Col du Mollard (2e catégorie) avec Robert Kiserlovski et Vasili Kiryienka, il a connu une frayeur en chutant lors de la descente. «J'ai connu tellement de malchance dans ce Tour, que là ce n'était pas grand chose. Ca ne pouvait pas me déstabiliser.» Il s'est finalement retrouvé seul à dix kilomètres de l'arrivée, dans la montée vers la Toussuire (1re catégorie).Derrière Rolland, les favoris ont été un temps éparpillés avant de passer la ligne tous ensemble. Tous sauf Cadel Evans, arrivé une minute et 26 secondes après Bradley Wiggins et Vincenzo Nibali. Le tenant du titre, qui a lâché prise à quatre kilomètres de la ligne, laisse la deuxième place du général à Chris Froome en même temps que ses espoirs de garder son titre. Le lieutenant du Maillot Jaune a failli causer un incident diplomatique en lâchant son leader pendant quelques secondes avant d'être rappelé à l'ordre par oreillette et de se retourner. Il a aussi vu, à ce moment-là, Vincenzo Nibali, qui avait encore tenté une échappée vaine peu avant. Et s'est peut-être dit que le seul concurrent de "Wiggo", ça doit être lui...

Pierre Rolland , encore un petit français qui gagne une étape...... et non des moindres !!
Bravo !!!!!

Le Britannique David Millar (Garmin), qui revendique son étiquette de "repenti" du cyclisme, a remporté la 12e étape du Tour de France, vendredi, à Annonay, où le Britannique Bradley Wiggins (Sky) a conservé son maillot jaune de leader

Bien que çà n intéresse personne ,je continue de faire le résumé du tour de France .




L'Allemand André Greipel (Lotto) devance Peter Sagan (Liquigas) d'une demie roue (LIONEL BONAVENTURE / AFP)
André Greipel (Lotto) s'est offert sa troisième étape sur le Tour de Franc en remportant le sprint de la 13e étape entre Saint-Paul-Trois-Chateaux et Le Cap d'Agde. L'Allemand a devancé d'une demi-roue le maillot vert Peter Sagan (Liquigas) et Edvald Boassson Hagan (Sky). Le Français Sébastien Hinault (Ag2r) s'est classé quatrième.

L'Espagnol Luis-Leon Sanchez (Rabobank) a remporté dimanche en solitaire la 14e étape du tour de France disputée sur 191 km entre Limoux et Foix.
OIX, Ariège (Reuters) - Déjà vainqueur de trois étapes par le passé, l'Espagnol Luis-Leon Sanchez s'est imposé en solitaire à Foix dans la quatorzième étape du Tour de France marquée dans le final par d'innombrables crevaisons provoquées par de petits clous.

Cette étape ariégeoise, proposant les escalades du Port de Lers et de l'inédit Mur de Péguère avait été assez décevante, aucune attaque n'ayant été portée contre le maillot jaune, Bradley Wiggins, quand Cadel Evans a mis pied à terre, victime d'une crevaison.

Sans que son équipier Tejay Van Garderen ne s'arrête, ce qui a semblé beaucoup énerver le champion australien.

A suivi une scène incroyable.

Evans retire sa roue arrière dans l'attente d'un dépannage, sous le regard de Jacques Michaud, responsable des invités de BMC qui s'était posté là pour tendre des vêtements chauds sans avoir une roue sous la main.

Puis Marcus Burghardt arrive et saute de vélo, mais sa roue arrière n'est pas la même et ne peut donc servir à son leader.

Enfin vient Amaël Moinard pour un changement de roue et Evans repart, furieux. Il doit s'arrêter quelques hectomètres plus loin, victime d'une nouvelle crevaison.

Le manager de la BMC, Jim Ochowicz, saute de voiture pour l'aider mais tombe deux fois dans le fossé.

A l'avant, beaucoup de coureurs sont victimes de crevaisons, notamment Vincenzo Nibali. Bradley Wiggins, en patron, demande à tout le peloton de se relever.

Pierre Rolland n'a pas entendu et attaque la descente pleine bourre. Il finira pas se relever sous peine d'en entendre parler longtemps.

Sur la route, des coureurs témoignent. Des clous ont été jetés sur la route, replongeant le Tour dans le fléau qui avait accablé les organisateurs au début du vingtième siècle et, plus récemment, en 1996, dans une étape dans le Vercors.

SANCHEZ SAUVE RABOBANK

"Des spectateurs ont lancé des clous de tapissier quand le peloton est passé", a dit Jean-François Pescheux le directeur de course.

"Il y avait 50 coureurs, une trentaine ont été victimes de crevaisons. Bradley Wiggins s'est mis devant le groupe et demandé que tout le monde ralentisse. C'était difficile pour moi de neutraliser la course, on ne savait pas ce qui se passait."

Au bas de la descente, le peloton s'est finalement regroupé et Cadel Evans, assisté de cinq équipiers, y a repris place. Tout le monde se souviendra longtemps de ce premier passage dans le Mur de Péguère.

Un quart d'heure devant le peloton, cinq des onze échappés du départ se sont regroupés au bas de la descente. Etaient présents le Français Sandy Casar, les Espagnols Luis-Leon Sanchez et Gorka Izaguirre, le Belge Philippe Gilbert et surtout le maillot vert Peter Sagan qui a sans doute assuré sa victoire au classement par points au cours de cette journée.

Comme toujours dans cette circonstance, Luis-Leon Sanchez, vainqueur à Aurillac (2008), Saint-Girons (2009) et Saint-Flour (2011), a très bien manoeuvré.

Il a été le premier à attaquer, à 12 kilomètres de l'arrivée, devinant que les autres allaient se retourner vers Sagan pour faire le travail.

Ce que le Slovaque, proche de la fringale pour avoir oublié de s'alimenter, n'a pas été en mesure de faire.

Sur la ligne d'arrivée, conscient d'avoir sauvé le Tour de son équipe Rabobank qui ne compte plus que quatre coureurs sur neuf, Luis-Leon Sanchez a laissé éclater sa joie.

Un quart d'heure plus tard, la colère dominait chez de nombreux coureurs, agacés d'avoir vu leur course faussée par des clous. Cette journée rappelle combien le Tour, qui se joue sur la voie publique, reste fragile.

Edité par Grégory Blachier

Fédrigo comme chez lui
Pau réussit bien à Pierrick Fédrigo (FDJ). Le Français s'est imposé dans la cité béarnaise lundi, comme en 2010. La quatrième victoire de sa carrière sur le Tour de France, le deuxième succès pour la formation FDJ sur cette édition 2012. Bradley Wiggins reste en jaune avant la journée de repos.

Tu es bien courageuse Roro, je te tire mon "chapeau"

Merci pour le "chapeau"
J ai fait "court" aujourd’hui ,pas le gout .

C'est vrai : CHAPEAU VIVE RORO!!!!

Aujourd hui ,c etait repos pour nos coureurs .




Demain,ce sera ;

Je leur souhaite un bon courage.

Là, c'est du sport!!!!

Les " bons " grimpeurs vont être servis !!!!!!!!!!!!

Ooohhh les beaux mollets !!!!!!!!!!!!!!!

Chapeau les mecs !!!!!!!!!!!!!!! Et bon courage !!!!!!!!!!!

Mon mari suit aujourd'hui ,car cette région nous rappelle tant de souvenirs de jeunesse !!! et même d'enfance pour moi !!
En plus temps magnifique !!!

Wiggins y est presque
Epargné par un Christopher Froome en feu mais sur la réserve, Bradley Wiggins a conforté son maillot jaune jeudi à Peyragudes, où Alejandro Valverde s'est imposé. Le duo britannique de Sky a frappé fort une fois de plus. Vincenzo Nibali, fatigué, a cédé du terrain. Pierre Rolland passe huitième.


Cette fois, Bradley Wiggins touche au but. A moins d'une chute que personne ne lui souhaite, plus rien n'empêchera le Britannique de remporter le Tour de France dimanche. A l'issue de l'ultime étape de montagne, dans le brouillard pyrénéen, le leader de l'équipe Sky a consolidé son maillot jaune en prenant un peu de temps à son dernier véritable adversaire, Vincenzo Nibali. Son dauphin est toujours son coéquipier Christopher Froome. Mais on voit mal celui-ci combler plus de deux minutes sur Wiggins lors du chrono de Chartres samedi. Reste que "Froomey" avait peut-être les moyens de gagner ce Tour. Il avait, assurément, cette 17e étape dans les jambes, mais la fidélité de Froome à Wiggins a sauvé la mise à Alejandro Valverde dans l'ascension finale. L'Espagnol a ainsi pu mener son échappée à terme et s'offrir une victoire amplement méritée.

Comme on le pressentait depuis la toute première étape de montagne à La Planche des Belles Filles, Christopher Froome était le seul homme capable de malmener le maillot jaune. Le dernier rendez-vous pyrénéen a largement confirmé cette impression. Le natif de Nairobi aurait pu s'envoler dans les derniers kilomètres menant vers Peyragudes. Il n'aurait eu aucun mal à croquer Valverde, lequel avait fourni un effort colossal depuis le col de Menté, première difficulté de la journée, où l'échappée du jour s'était formée. Mais Froome, écoutant sa tête, restant sourd aux cris de son coeur et de ses jambes, a sagement attendu Wiggins chaque fois que celui-ci était sur le point de décrocher.

Nibali n'en pouvait plus

Attention, le maillot jaune était loin d'être en difficulté. Les autres, tous les autres, notamment Vincenzo Nibali et Jurgen Van den Broeck, n'avaient pas réussi à suivre le duo anglais. Plus fort que tous les autres, Wiggins était simplement un ton en-dessous de son fidèle serviteur. Paradoxale stratégie des Sky. Wiggo avait roulé à bloc en bas de Peyragudes, afin de permettre à Froome de remporter l'étape. Mais quand celui-ci a voulu porter l'estocade finale contre Valverde, il a été contraint d'attendre son leader. Il a donc dû se contenter de la deuxième place, à 18 secondes du coureur de la Movistar. Franchement, l'ancien banni de Murcie n'a pas volé cette victoire, la première pour lui sur un grand tour depuis la Vuelta 2008. C'est dans le Port de Balès que le double vainqueur de Liège-Bastogne-Liège s'est isolé à l'avant de la course. Il aurait été cruel qu'il cède si près du but au profit du duo infernal de Sky. La loi des plus forts n'a pas prévalu.

Mais si la victoire d'étape lui a échappé, l'équipe de Dave Brailsford a définitivement assis sa supériorité dans ce Tour. Vincenzo Nibali n'avait plus les jambes nécessaires pour menacer Froome et Wiggins. Au contraire, c'est lui qui a coincé dans le final. Sa troisième place sur le podium n'est toutefois pas menacée, Jurgen van den Broeck n'ayant pris qu'une poignée de secondes au requin de Messine. Les positions du quatuor de tête paraissent figées, même avec le chrono de samedi. En revanche, derrière, il y aura de la bagarre pour les autres places dans le Top 10. Cadel Evans, pourtant à la peine une fois encore, a gagné une petite place. Le tenant du titre est sixième, juste derrière son jeune coéquipier Tejay Van Garderen. Les deux hommes ont profité du tassement d'Haimar Zubeldia. Pierre Rolland, lui aussi, grignote un rang, au détriment de Janez Brajkovic. Cinquième de l'étape derrière un formidable Thibaut Pinot, le voilà huitième du général. Mais la vraie grande nouvelle, chez Europcar, concerne Thomas Voeckler, lequel a assuré pour de bon son maillot à pois de meilleur grimpeur. Rolland-Voeckler, ça ne vaut pas tout à fait Wiggins-Froome, mais c'est pas mal quand même.

Bravo à notre reporter spécial!!!

Le reporter spécial n a pas assuré hier ,vu son absence ,désolée .....

Wiggins: "C'est mon cadeau"
En roulant à bloc dans le final de la 18e étape à Brive, Bradley Wiggins a pris une part active à la victoire de Mark Cavendish vendredi. Une façon pour le maillot jaune de le remercier.




C'est sa façon à lui d'avoir du panache. A défaut de sortir de son attitude conservatrice dans les grandes étapes de montagne, où il s'est contenté d'agir en gestionnaire efficace mais froid, Bradley Wiggins met à profit les étapes de plaine et les sprints pour donner une (petite) dimension supplémentaire à son maillot jaune. C'est surtout le moyen pour lui de remercier ceux qui, chez Sky, ont beaucoup travaillé pour lui depuis le départ de Liège.

Dimanche dernier, au Cap d'Agde, il avait bossé pour Edvald Boasson Hagen. Jeudi, à Peyragudes, on l'avait vu rouler derrière Alejandro Valverde au pied de la montée finale pour essayer de favoriser une victoire d'étape de Christopher Froome. Dans les deux cas, pour diverses raisons, la manœuvre avait avorté. Mais Wiggins a remis ça vendredi à Brive, en se mettant à la planche dans les deux derniers kilomètres. Et cette fois, sa contribution a été décisive puisque Mark Cavendish est allé chercher la victoire, et de quelle manière ! "C'est mon cadeau pour lui", a confié le probable futur vainqueur de ce Tour 2012, tombé dans les bras de son compatriote champion du monde après l'arrivée.

"Ça fait plaisir de lui renvoyer l'ascenseur"

Cette union sacrée s'est scellée le matin, lors du briefing, à Blagnac. "Après toutes les étapes difficiles que l'on a passées, raconte Cavendish, l'équipe voulait laisser aller les choses, prendre un rythme de croisière pour aller jusqu'à Paris. J'ai dit 's'il vous plaît, j'aimerais bien gagner'. Brad a répondu 'on va essayer de faire en sorte qu'il y ait un sprint pour toi et on t'aidera si ça se présente'." Quelques heures plus tard, Wiggins n'avait pas oublié sa promesse lorsque le peloton s'est retrouvé sur les talons des derniers échappés. "Ce matin, confirme le leader de Sky, on était totalement concentré sur la journée, comme on le fait depuis le début. Le plan était d'arriver dans le final et de laisser Mark dans la meilleure des positions, et en prenant les choses en mains d'éviter aussi une cassure ou une chute".

Comme avec Boasson Hagen l'autre jour, Wiggins a donc trouver dans sa manoeuvre finale le moyen d'allier l'utile à l'agréable: "C'était très dangereux comme final donc on avait décidé ce matin de mettre en place le train sur la route, comme ça c'est mieux pour le classement et ça pouvait aider un peu Mark pour l'arrivée. Il a gagné. Toute l'équipe a montré son engagement pour lui et 9 fois sur 10, Cav conclut quand on le place comme ça. Il a encore montré, s'il en était besoin, qu'il est l'homme le plus rapide du monde". Et le maillot jaune de souligner le boulot abattu par Cavendish dans un rôle contre-nature. Il n'ignore pas que le champion du monde a mis de côté une partie de ses ambitions personnelles. "Il a été un équipier formidable ces deux dernières semaines, note Wiggins. Ça fait plaisir de lui renvoyer l'ascenseur. Ça n'a pas dû être facile de penser au classement général et de sacrifier certaines arrivées au sprint".

Après sa bonne action, Bradley Wiggins s'est immédiatement tourné vers le contre-la-montre décisif entre Bonneval et Chartres, samedi. Il a d'ailleurs zappé la traditionnelle conférence de presse d'après-étape, passage obligé pour le leader du général. "J'ai quitté l'arrivée tout de suite pour faire le décrassage, a-t-il expliqué. C'est mieux de faire ça que de rester trois minutes là-bas en conférence de presse pour parler de la météo ou je ne sais quoi... Dès qu'on a terminé l'étape, on s'est concentré sur demain". Samedi, Wiggins ne pensera qu'à lui. Il n'a jamais été aussi près de pénétrer dans le gotha du Tour.


Blagnac Brive-la-Gaillarde
étape 18 222.5KM
aujourd'hui, vendredi 20 juillet 11:20 (CET)
25°C
Vent : 15km/h

Km parcourus
222.5
Km restant
-
Vitesse moyenne
45.2km/h
Temps de course
4h 56min
Distancés
x7
Peloton


-
arrivée
01 :
CAVENDISH Mark 103 SKY

02 :
GOSS Matthew Harley 204 OGE

03 :
SAGAN Peter 57 LIQ

Pour le coup..... j'ai vraiment "lâché l'affaire" !
C'est plus "le tour de france avec Kiki".... et encore moins "le tour de france avec grenouille".....
C'est plutôt "le tour de france avec Roro" !!!

Bravo Roro....... et merci !

De rien,mon grenouillon !
Pas beaucoup le lise ,mais ,çà fait rien,j ai tenu a suivre ton idée . Et toi,tu n as pas le temps ,tandis que moi,j en ai .
Passes un bon week end... reposant ,si possible .

Je le lis même si les commentaires ne suivent pas ; suis pas une fan de vélo!!!!!

Oui, je sais ma Yo

Voici le gagnant de l'étape d'hier, la vingtième et dernière étape, sur les Champs-Elysées.
C'est un anglais, qui s'appelle Mark CAVENDISH Mark. Il totalise quatre victoires sur les Champs-Élysées.

A Paris comme partout en France, le Tour de France a beaucoup de succès !!


Et voici le vainqueur du Tour 2012 :

C'est aussi un anglais, et il s'appelle Bradley WIGGINS.
Décidement......... fortiches ces British's ...... hein Juju ?

Voilà..... c'est terminé le Tour de France pour 2012.

Tu sais Marie...... si Kiki il aime vraiment ça, il y a une boutique en ligne où tu peux lui acheter un petit cadeau, pour son anniversaire ou une autre occasion

http://boutique.letour.fr/index.php?language=fr&partner=1WSTDF



Je remercie vivement Roro pour avoir "tenu la boutique"........ avec tant d'assiduité !
Je vous promets que je ne ferai rien pour les Jeux Olympiques ...... motus et bouche cousue la grenouille !

Bravo à tous les coureurs...... et ...... VIVE LE VELO !