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| Aimez -vous l'opéra???? | |
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+2jourapresjour douce teigneuse 6 participants | Auteur | Message |
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douce teigneuse Admin
Messages : 19842 Date d'inscription : 28/10/2010
| Sujet: Aimez -vous l'opéra???? Mar 16 Nov 2010, 16:08 | |
| « Mathis le peintre », l'opéra en miroirFresque historique et réflexion philosophique sur la place de l’artiste dans le monde, le chef-d’œuvre de Paul Hindemith fait son entrée au répertoire de l’Opéra de Paris Mathis le peintre Opéra Bastille, Paris Chacun tient dans la main l’une des extrémités d’un long ruban de soie rouge. Lien tantôt souple, tantôt serré, qui les éloigne et les rapproche. Dans ce duo entre Mathis et Regina, les chanteurs s’étreignent et se séparent au gré du flux musical, d’une tendresse et d’une mélancolie captivantes. En dépit de l’accompagnement au piano – et non à l’orchestre –, des décors absents et des costumes à peine esquissés, la magie opère déjà lors de cette répétition de Mathis der Maler (Mathis le peintre), opéra de Paul Hindemith. Ce mardi soir, jour de la première, l’œuvre créée à Zurich en 1938 fait son entrée à l’Opéra de Paris. « Je suis convaincu que Mathis devrait être donné beaucoup plus souvent, partout dans le monde, plaide chaleureusement le chef d’orchestre Christoph Eschenbach qui dirige les huit représentations à venir. C’est l’un des grands phares lyriques du XXe siècle. " Doit-il s’engager dans le monde, choisir son camp ?"Après les années 1920 où il fit irruption sur la scène musicale comme un jeune sauvage, Hindemith atteint désormais une maîtrise totale. Contraint à l’exil par le régime nazi, il écrit cette œuvre telle une émigration intérieure, un miroir de sa propre condition d’homme et d’artiste. » Le livret, rédigé par le compositeur lui-même, met en scène le peintre Matthias Grünewald (1475-1528), auteur du stupéfiant retable d’Issenheim conservé à Colmar. Le créateur y est confronté aux guerres de religions, aux intrigues politiques, à l’amour aussi. « Doit-il s’engager dans le monde, choisir son camp ? Soumis à toutes les tentations, Mathis finit par saisir l’essentiel : pour lui, la seule réponse réside dans son art, analyse Olivier Py, auteur de la mise en scène. Le reste doit être laissé sur le bord du chemin. Il y a dans cette œuvre une obsession du dépouillement : on retrouve tout en abandonnant tout… » Le metteur en scène avoue avoir découvert l’opéra en s’attelant à la préparation de cette nouvelle production. Il a été saisi par la beauté de la musique et la qualité du texte, « d’une poétique très personnelle, avec un mélange audacieux d’allemand archaïque et de langage contemporain. Le chef insiste sur la splendeur de l’écriture choraleThéâtralement, la puissance de Mathis tient à ses contrastes. Aux grandes scènes collectives – l’une d’elles rassemble trois chœurs – et historiques succèdent des plages intimistes, recueillies, transparentes. Hindemith passe avec génie du “micro” au “macro” ». Cette alternance dramatique séduit tout autant Christoph Eschenbach, familier du compositeur allemand. Il fréquente sa musique depuis sa jeunesse : « Au piano (Christoph Eschenbach a mené une brillante carrière au clavier avant de saisir la baguette du chef), j’ai aimé interpréter ses trois sonates. J’ai joué Hindemith à l’alto, instrument que j’ai également pratiqué. J’ai toujours été choqué par ceux qui le jugeaient rétrograde ou conformiste, en l’opposant à l’École de Vienne. Pour moi, on peut aimer la musique de Schönberg et celle de Hindemith, sans exclusive ! » Le chef insiste sur la splendeur de l’écriture chorale – « pas commode pour un chœur français car il y a énormément de texte, difficile à mémoriser » –, le lyrisme des lignes vocales solistes et les couleurs de l’orchestre. "Hindemith brosse son autoportrait" « Hindemith se plaît à croiser des réminiscences du grégorien avec des chants populaires de la Renaissance, le contrepoint baroque et le langage musical du XXe siècle. Mais tout cela est parfaitement agencé. En outre, les bois, les cordes et les cuivres scintillent et rutilent sans cesse. C’est vraiment superbe ! » Chef et metteur en scène sont tombés d’accord dès le début de leur collaboration : cette production parisienne entremêlera deux époques, la Renaissance et le XXe siècle, le second ayant dramatiquement perverti l’idéal d’un homme nouveau rêvé par la première. « À travers la figure de Mathis plongé dans la tourmente des luttes fratricides entre catholiques et réformés, Hindemith brosse son autoportrait, affirme Olivier Py. Accusé par les nazis de bolchevisme musical, le compositeur doute, s’interroge sur le rôle d’un créateur dans une société troublée, dangereuse. Il n’aura qu’une issue : partir. » Le héros de l’opéra étant un peintre, fallait-il pour autant montrer sur scène une reproduction de son œuvre, notamment celle du fameux retable ? Olivier Py a préféré suggérer la forme du polyptyque par une vaste structure encadrant le plateau. « De même, explique-t-il, on verra les modèles que Mathis est en train de peindre mais pas le résultat de son travail. Sur l’immense scène de la Bastille, il aurait fallu considérablement agrandir le retable pour que le public puisse voir quelque chose. L’effet aurait vraiment manqué de grâce… » "Le psycho-réalisme ne convient pas à la scène"Pour incarner Matthias Grünewald, le baryton Matthias Goerne, fidèle complice de Christoph Eschenbach : ensemble, les deux hommes ont donné tant de cycles de lieder avec piano ou orchestre, tant de Requiem de Brahms, d’oratorios de Schumann… « En revanche, il s’agit de notre premier opéra en commun, note le chef d’orchestre. Matthias est le formidable chanteur que l’on sait mais aussi un très bel acteur. » « En scène, il fait preuve d’un incroyable charisme, confirme Olivier Py. Il possède aussi une force de proposition très précieuse. Souvent, ce qu’il suggère me permet de pousser encore plus loin mon idée première concernant une attitude ou un mouvement. » Avec Matthias Goerne mais aussi Melanie Diener, interprète sculpturale du magnifique rôle d’Ursula, ou Svetlana Doneva, gracieuse et fragile Regina, le metteur en scène déploie ce « jeu lyrique » auquel il tient tant. « Je ne souscris pas à cette esthétique qui rapproche la technique théâtrale de celle du cinéma ou de la télévision. Ce psycho-réalisme ne convient pas à la scène. Avec les chanteurs, nous réinventons une gestuelle ample, généreuse, qui impose parfois de se planter face au public. Et pourquoi pas de tomber à genoux, une main sur le cœur ? » Emmanuelle GIULIANI Huit représentations jusqu’au 6 décembre, à 19h, à l’Opéra Bastille. Rens. : 08.92.89.90.90. et www.operadeparis.frMathis le peintre sera retransmis le samedi 11 décembre à 19 heures, sur France Musique. Les 23 et 30 novembre, à 20 heures, dans l’amphithéâtre de la Bastille, deux concerts autour de Hindemith : « Hindemith et l’alto, par Antoine Tamestit (alto) et Markus Hadulla (piano) et « Hindemith et le quatuor » par le Quatuor Danel | |
| | | jourapresjour
Messages : 9265 Date d'inscription : 29/10/2010 Age : 70 Localisation : nord
| Sujet: Re: Aimez -vous l'opéra???? Mar 16 Nov 2010, 16:22 | |
| Je ne suis jamais allée à l'opéra mais cela fait partie des choses encore à faire ! Le tout est de trouver quelqu'un qui veuille bien m'accompagner parce que je ne voudrais pas y aller seule. Il faudrait que je commence par quelque chose de classique. On m'a dit aussi que parfois ça semblait long et qu'il fallait surtout le soir boire beaucoup de coca pour tenir le coup. Mais que ça valait le coup ! Qu'il y avait aussi un grand écran avec les explications et les traductions. Évidemment je pourrais regarder à la télé mais non ça je n'ai pas envie. Je veux aller voir un opéra à l'opéra. | |
| | | douce teigneuse Admin
Messages : 19842 Date d'inscription : 28/10/2010
| Sujet: Re: Aimez -vous l'opéra???? Mar 16 Nov 2010, 16:32 | |
| Quand j'étais petite , j'allais à l'opéra de Nice une fois par mois avec ma Grand Mère et son mari qui avait d'ailleurs une voix superbe (il aurait bien aimé devenir chanteur d'opéra mais l'aîné de 13enfants obéissait à ses parents et à cette époque là ce n'était pas un métier !!!)Je ne comprenais pas tout mais pour moi c'était magique ; nous avions une loge et je me prenais pour une princesse ! Rentrés à la maison , mon Grand Père m'expliquait tout et chantait rien que pour moi des airs entiers !! Quel enchantement !! nous avions tous les 78 tours !!!!!! J'ai tous les 33tours et beaucoup de CD que j'écoute souvent en pensant à lui !!!!!! | |
| | | Justine Admin
Messages : 892 Date d'inscription : 27/10/2010 Age : 44 Localisation : Angleterre
| Sujet: Re: Aimez -vous l'opéra???? Mer 17 Nov 2010, 18:53 | |
| - jourapresjour a écrit:
- Je ne suis jamais allée à l'opéra mais cela fait partie des choses encore à faire !
Le tout est de trouver quelqu'un qui veuille bien m'accompagner parce que je ne voudrais pas y aller seule. Il faudrait que je commence par quelque chose de classique. On m'a dit aussi que parfois ça semblait long et qu'il fallait surtout le soir boire beaucoup de coca pour tenir le coup. Mais que ça valait le coup ! Qu'il y avait aussi un grand écran avec les explications et les traductions. Évidemment je pourrais regarder à la télé mais non ça je n'ai pas envie. Je veux aller voir un opéra à l'opéra. Bon alors, faudra se le prévoir quand on viendra car moi aussi, je n'ai jamais vu de vrai opéra mais j'adore l'écouter même si je ne comprends pas tout | |
| | | roro
Messages : 4758 Date d'inscription : 29/10/2010 Age : 69 Localisation : forez
| | | | douce teigneuse Admin
Messages : 19842 Date d'inscription : 28/10/2010
| Sujet: Les pêcheurs de perles Lun 27 Déc 2010, 17:42 | |
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| | | douce teigneuse Admin
Messages : 19842 Date d'inscription : 28/10/2010
| Sujet: La Traviata Mer 05 Jan 2011, 13:54 | |
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| | | jourapresjour
Messages : 9265 Date d'inscription : 29/10/2010 Age : 70 Localisation : nord
| Sujet: Re: Aimez -vous l'opéra???? Mer 05 Jan 2011, 17:52 | |
| Quel est l'opéra le plus accessible à une néophyte ? | |
| | | douce teigneuse Admin
Messages : 19842 Date d'inscription : 28/10/2010
| Sujet: A Nancy, le vibrant quotidien d’une maison d’opéra Ven 06 Mai 2011, 14:16 | |
| A Nancy, le vibrant quotidien d’une maison d’opéraPour la 5e édition de « Tous à l’Opéra ! », l’Opéra national de Lorraine ouvre ses portes au public samedi 7 mai. Les nouveaux décors des représentations à venir sont étudiés et discutés. L’Opéra de Nancy en profite pour lever un coin du voile sur la flamme magique du spectacle, entretenue par les techniciens et les artistes. Comme lui, 29 théâtres lyriques proposent des visites originales ce week-end. Elle travaille à l’Opéra de Nancy depuis trente-cinq ans. Dans le vaste atelier vitré, entre les machines à coudre crépitantes, les rouleaux d’étoffes bigarrées, les passementeries et autres perles, Danièle Didierlaurent dirige l’équipe des huit couturières qui officient pour la scène lorraine. « À raison de quatre ou cinq productions par an, j’ai dû travailler pour plus de 120 ouvrages lyriques différents ! », s’amuse-t-elle. Dans quelques jours, la maison affiche la reprise des Noces de Figaro, de Mozart, déjà données ici. Les couturières se sont mobilisées pour des retouches ou adaptations des costumes qu’il faut retailler en fonction des mensurations des nouveaux chanteurs. « Un changement de “cast” impose de sérieux ajustements », précise Danièle Didierlaurent, qui attend maintenant avec impatience les maquettes d’un nouveau spectacle, programmé en 2011-2012. Les costumières de l'Opéra de Nancy Exigence et précision dans le travail des costumes « Il s’agit de L’Italienne à Alger, de Rossini. L’idéal serait de récupérer les dessins au moins huit mois avant la première. Même si nous ne prétendons pas à la même perfection que dans la haute-couture, nous tenons à faire de la qualité, à voir sortir de très belles choses de notre atelier. Je crois que le public est de plus en plus exigeant, qu’il a l’œil ! Surtout si le spectacle est capté par la télévision ou Internet. Comme les décors, lumières et accessoires, les costumes sont essentiels à la réussite d’une production. » Avec la passion « indispensable à ce métier », Danièle Didierlaurent insiste sur le choix des matières (alors que les budgets sont de plus en plus serrés) : « Si la mise en scène prévoit que la diva se traîne par terre, on évitera la mousseline de soie ! De même, il faut prévoir le cas d’un costume qui doit être enlevé rapidement et imaginer un système de fermeture astucieux. Mais sans sacrifier l’esthétique. Nous devons apporter la même minutie à la fabrication d’une veste qui ne sera portée que trois secondes en scène qu’à celle d’une cape qui “durera” tout un acte ! » Des sièges d’avion pour une prochaine représentationNon loin de l’atelier couture, naviguant entre son bureau et la scène, Serge Gachet, directeur technique de l’Opéra, est lui aussi absorbé par le court et le long terme : ici, le montage du décor des Noces, « déjà connu mais toujours aussi lourd ! » ; là, la recherche inattendue de… sièges d’avion ! « Le décorateur de L’Italienne à Alger a envoyé récemment les maquettes de son projet. Je me suis aussitôt lancé sur la piste de ces fameux sièges. Une première pour moi ! Ce travail d’enquêteur, entre contraintes techniques – poids des matériaux, indispensable résistance au feu – et budgétaires, est un aspect formidable du métier. Nous avons la chance ici que tout soit fabriqué sur place, ce qui simplifie les choses. » Une programmation éclectique pour une scène « nationale »En revanche, la plupart des spectacles étant coproduits avec d’autres théâtres, il faut prévoir des décors convenant aux dimensions des différentes scènes impliquées. Cet écrin technique de haute précision accueille les forces artistiques permanentes de l’Opéra de Nancy (chœur et orchestre) comme les solistes invités. Sous la houlette de Laurent Spielmann, son directeur, la scène labélisée « nationale » par le ministère de la culture en 2006 propose une programmation équilibrée entre grand répertoire, création contemporaine et spectacles « hybrides » mêlant art lyrique, danse, musiques actuelles, théâtre… « Les mélomanes peuvent être déconcertés, irrités, et nous le font savoir. Mais, les chiffres montrent que nous avons scellé un contrat de confiance avec les spectateurs puisque près de la moitié de la salle (NDLR : d’une jauge de 1 014 places) est pleine à chaque représentation (six par spectacle) grâce aux abonnements. Nancy respecte sa tradition en donnant à entendre des ouvrages remarquables mais peu connus, comme La Ville morte, de Korngold, l’an dernier, ou Le Portrait, de Weinberg, cette saison. » Maquillage pour le rôle de Rigoletto Faire la part-belle au travail de l’ombre des musiciensCes partitions, à l’orchestration développée et sophistiquée, offrent aux instrumentistes de l’Orchestre symphonique et lyrique de Nancy la possibilité de mettre en lumière leur travail obscur de « musiciens de fosse ». Tout comme les concerts symphoniques ou de musique de chambre proposés au public, précieux compléments des soirées lyriques. La violoniste Marie Lambert, le violoncelliste Jean de Spengler et le hautboïste Pierre Colombain soulignent d’une seule voix leur bonheur de se faire entendre dans un répertoire cent pour cent instrumental, « qui touche différemment l’écoute des spectateurs. À l’opéra, on ne nous voit pas. Souvent, l’auditeur ne sait même pas qui joue quoi… » Quand la musique fait « sortir de nous-mêmes »Cette tension permanente entre talent individuel et nécessité de se fondre dans un collectif harmonieux habite tout autant la trentaine de chanteurs du chœur. La soprano Patricia Garnier et le ténor Ronald Lyndaker évoquent la plénitude de leur métier, « où, si la musique prime, la part dramatique est fondamentale. Elle nous fait parfois sortir de nous-mêmes de manière insoupçonnée. » Il y a quelques années, lors d’une production d’André Chénier, de Giordano, Patricia Garnier avoue « s’être sentie possédée par l’action. J’ai vécu cette évocation de la Révolution française avec une intensité et une émotion incroyables ! » Dans Les Noces de Figaro, la participation chorale est minime. Mais la saison prochaine réserve de belles heures à Patricia, Ronald et leurs camarades chanteurs… (1) Samedi 7 mai, de 11 heures à 15 heures. Rens. : 03.83.85.30.60 et www.opera-national-lorraine.fr EMMANUELLE GIULIANI, à Nancy | |
| | | Saxo
Messages : 9148 Date d'inscription : 29/10/2010 Age : 74 Localisation : Provence
| Sujet: Re: Aimez -vous l'opéra???? Ven 06 Mai 2011, 15:10 | |
| J'adore l'opéra assise dans mon fauteuil en écoutant les airs célèbres mais à l'opéra même très peu, je ne comprends pas assez l'italien ou l'allemand pour profiter pleinement du spectacle. | |
| | | jourapresjour
Messages : 9265 Date d'inscription : 29/10/2010 Age : 70 Localisation : nord
| Sujet: Re: Aimez -vous l'opéra???? Ven 06 Mai 2011, 17:20 | |
| Moi j'aimerais bien y aller au moins une fois. Il paraît qu'il y a les traductions, les explications et tout et tout...... Je ne me vois pas du tout traîner kiki à l'opéra. Déjà l'an dernier j'ai eu des misères pour l'emmener faire du cheval ! ojk ça n'a rien à voir !
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| | | douce teigneuse Admin
Messages : 19842 Date d'inscription : 28/10/2010
| Sujet: Re: Aimez -vous l'opéra???? Ven 06 Mai 2011, 18:08 | |
| Un opéra , c'est magnifique !!! celui de Manaus aux portes de l'Amazonie, au Brésil, est le plus sublime que je connaisse mais je ne les connais pas tous !! Comme Saxo , j'aime écouter la musique , bien installée dans un fauteuil , je ferme les yeux et me laisse aller .......................si je "sais" je chante !!!!!!!!! !si je ne comprends rien (allemand par ex !) je fais intervenir mon imagination ! Cela m'est arrivé de mettre un disque ou un CD de musique classique à mes élèves de CM2 et de leur dire de dessiner ce qu'ils "voyaient " ce qu'ils ressentaient : il y eut de belles surprises !!!! On peut aimer la musique sans la comprendre !!!!!(ce n'est que mon avis !!!) | |
| | | Vio
Messages : 3648 Date d'inscription : 29/10/2010 Age : 70 Localisation : sud-ouest
| Sujet: Re: Aimez -vous l'opéra???? Ven 06 Mai 2011, 20:55 | |
| Je n'y connais RIEN.....et j'aime !! Le Caruso....Mamma mia... Là, je me détends complètement... Les quatre saisons de Vivaldi ( avec une préférence pour le Printemps et l'été ) , je n'ai acheté le CD que lorsque j'ai trouvé la version que je voulais, à savoir comme Chef d'Orchestre : Herbert Von Karajan.... Gamine, mon oncle avait eu des places à l'Opéra Comique à Paris pour aller voir : Madame Butterfly... Donc, nous y sommes allés, mon oncle, mon papa et moi : Ouais... Mon oncle en a été charmé.... Mon papa et moi ? Ben, j'en sais rien ; on s'est endormis ! Par contre, Madame Butterfly, j'aime pas... Y aller...Je ne sais pas.... Je ne comprends ni l'anglais, ni l'italine et encore moins l'allemand... Ecouter oui.....Aller voir..çà ne me tente pas plus que çà... | |
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| Sujet: Re: Aimez -vous l'opéra???? | |
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