Échanges de lien | Pour les échanges de liens, veuillez me contactez en le laissant votre adresse ainsi que petit descriptif.
N'oubliez que vous pouvez toujours vous inscrire en tant que membre et ouvrir un nouveau post à forum > Ici on se présente > Topic publicité |
|
| Les deux pattes: l'alouette | |
| | Auteur | Message |
---|
Matriarche3
Messages : 8740 Date d'inscription : 29/10/2010 Age : 90 Localisation : Belgique, province de Namur, Mariembourg
| Sujet: Les deux pattes: l'alouette Mer 26 Jan 2011, 16:06 | |
| L’Alouette des champs fait deux à trois couvées par an et pond de 2 à 5 œufs par couvée
Un vol et parade nuptiale précèdent l’accouplement Le mâle monte et descend en spirale en chantant puis se laisse tomber sur le sol comme une pierre. Là, il parade autour de la femelle, crête dressée, ailes abaissées et queue déployée en éventail jusqu’à ce qu’elle accepte la fécondation. Le nid caché dans un trou sous l’herbe est fait à base d’herbes et de végétaux et tapissé de plumes, crins, poils, etc. La femelle y pond de deux à cinq œufs à la coquille gris jaune finement tachetée, elle les couve pendant 11 jours. Les deux parents participent à l’élevage des petits qui quittent le nid 10 jours après l’éclosion et s’envolent définitivement à l’âge de trois ou quatre semaines pour mener une vie autonome. Les couvées sont souvent victimes des rapaces, serpents et autres prédateurs. | |
| | | Saxo
Messages : 9148 Date d'inscription : 29/10/2010 Age : 74 Localisation : Provence
| Sujet: Re: Les deux pattes: l'alouette Mer 26 Jan 2011, 21:01 | |
| ALOUETTE DES CHAMPS (Alauda arvensis) Taille : 18 cm - Poids : 26 à 50 grammes Âge maximum : 12 ans Période de nidification : avril à juillet. Nombre de couvaisons : 2 à 5 couvées. Nombre d'œufs : 3 à 5 œufs blanchâtres très fortement marqués de gris et de brun. Incubation : 11 jours. Nid : à terre, dissimulé dans une dépression du sol. La femelle couve seule, mais le mâle aide à nourrir les jeunes. Envol :18 à 20 jours. Enregistrement audio L'alouette des champs est une espèce appartenant à la famille des alaudidés. Plumage rayé à dominante brune est identique chez le mâle et la femelle. Sa queue assez longue, aux plumes extérieures blanches la distingue des autres alouettes comme le cochevis huppé ou l'alouette lulu. Les chants territoriaux peuvent être émis par les mâles dès la fin janvier, mais c'est surtout à partir de mars que l'activité vocale devient plus importante. Les mâles s'élèvent verticalement dans le ciel, chantant sans interruption pendant parfois plus de 30 mn. L'activité est plus intense de l'aube à la fin de la matinée. L'alouette des champs affectionne les espaces ouverts. En zone cultivée, une mosaïque de cultures, composée de jachères, herbages et céréales de printemps lui est très favorable. Les couverts à la végétation peu dense, d'une hauteur de moins de 50 cm lui sont préférables pour nicher. En migration et en hivernage, elle fréquente les chaumes, les repousses de colza, les betteraves et les labours. Son régime alimentaire est presque exclusivement végétal en automne-hiver. Les grains de céréales, d'oléagineux ou d'adventices, ainsi que les jeunes pousses de céréales, colza ou les feuilles de betteraves constituent l'essentiel du bol alimentaire. Pendant la reproduction, les insectes et leurs larves, les petits mollusques, les araignées et les vers de terre, assurent l'alimentation des adultes et poussins. L'alouette des champs est un oiseau nicheur très commun en France. Elle niche depuis les dunes et les marais littoraux jusqu'aux prairies alpines, culminant à plus de 2000 mètres d'altitude. Mais c'est surtout dans les plaines cultivées de la moitié nord de la France que les effectifs nicheurs se concentrent. Les populations reproductrices françaises sont sédentaires. En octobre et en novembre, un flot d'alouettes des champs migratrices, originaires de Scandinavie et d'Europe Centrale, déferle sur notre pays. Des vols de plusieurs dizaines d'individus se succèdent tant de jour que de nuit. En moyenne, 53 millions d'oiseaux survoleraient ainsi la France entre octobre et décembre. En hiver, l'espèce est présente partout en France hormis sur les zones d'altitude recouvertes par la neige. Les densités les plus fortes se rencontrent au nord d'une ligne Pyrénées Atlantiques-Alsace. L'alouette des champs est chassée sur tout le territoire national. Elle intéresse essentiellement des spécialistes, notamment dans le Sud-Ouest de notre pays. Le prélèvement est estimé à 1,3 millions d'oiseaux. L'abondance de l'espèce en hivernage ne doit pas faire oublier une santé démographique assez précaire. L'ensemble des populations d'Europe occidentale enregistrent une baisse continue de leurs effectifs nicheurs depuis les années 1970. Cette érosion globale est imputée pour une très large part aux modifications des pratiques agricoles intervenues au cours des dernières décennies. L'augmentation de la taille des parcelles, l'abandon de la polyculture-élevage, la généralisation des cultures de colza et de tournesol, ainsi que l'utilisation intensive de produits phytosanitaires ou d'engrais chimiques sont autant de facteurs dommageables pour l'espèce. L'augmentation des superficies en jachères appropriées à l'espèce, le maintient des herbages tels que les luzernes ou celui des chaumes, ou bien encore la création de bandes enherbées le long des grandes parcelles sont autant d'exemples qui pourraient être bénéfiques à la reproduction de l'alouette et à sa survie en hiver. Témoin de la santé de nos agrosystèmes, l'alouette des champs, bien que très commune, doit faire l'objet de toute notre vigilance. | |
| | | Matriarche3
Messages : 8740 Date d'inscription : 29/10/2010 Age : 90 Localisation : Belgique, province de Namur, Mariembourg
| Sujet: Re: Les deux pattes: l'alouette Mar 12 Fév 2013, 16:10 | |
| Désolée j'avais mis une belle photo de faucon pélerin oubliant que ce de forum me rejettais Pascal Goset arrive avec son pick-up sur le parking des silos à Floriffoux. Sur le siège avant du véhicule, une caisse en carton. À l’intérieur un faucon pèlerin femelle. Très vite, il est rejoint par les ouvriers des silos qui sont impatients de voir comment se porte leur rapace. «Voilà quatre ans, nous avons installé un nichoir sur l'un des silos pour y accueillir un couple de faucons pèlerins, à la demande des responsables de l'usine, raconte Pascal. La présence de ces rapaces a pour but de faire fuir les pigeons qui affluent sur les silos ou tout simplement d'en réduire leur nombre. Le faucon ne se nourrit que d'oiseaux.» Pascal a pour mission de ramener le rapace dans son lieu de vie, après un séjour de trois semaines dans le centre de revalidation de Héron où Jeaninne Crispeels et son équipe de bénévoles ont soigné le rapace blessé. «Au hasard d'une promenade, Maxime a découvert à proximité des silos, l'oiseau au sol, avec une blessure à l'aile gauche. Vraisemblablement, en voulant attraper une proie, l'oiseau, qui peut atteindre des vitesses de 300 km/h au piqué, a heurté un obstacle et s'est retrouvé au sol.» Après avoir rassuré les ouvriers, Pascal, qui est bénévole pour l'institut royal des sciences naturelles de Belgique, prend le temps de baguer l'animal. «On place une première bague en aluminium qui porte un numéro unique, et une seconde en plastique avec deux caractères. Cette dernière permettra d'identifier l'oiseau au télescope. » Une fois le baguage terminé, le bénévole reprend la route pour aller relâcher la femelle sur l'autre rive de la Sambre juste en face des silos. Un grand moment que Maxime, le sauveur, ne peut manquer. Pascal tient une dernière fois l'animal, quelque peu affolé après son voyage en voiture. [url=https://servimg.com/view/11739263/1206][img] https://i.servimg.com/u/f74/11/73/92/63/th/faucun10.jpg[/img][/url]Voir ce majestueux rapace prendre son envol est un moment de véritable émotion. L'oiseau effectue un premier tour, repasse au-dessus des têtes de ses libérateurs avant de regagner le nichoir. On perçoit des cris lors des retrouvailles avec le mâle : «kek-kek-kek», assez perçant et sec. Un cri rapide qui va en s'amplifiant. Normal, la femelle a déjà été remplacée. «C'est la vie», conclut Pascal. Le faucon pèlerin aime les territoires découverts. Cette espèce s’installe sur les parois rocheuses voire sur des hauts bâtiments comme sur les silos de Floriffoux. Depuis quelques années la population est en augmentation et aujourdhui, on recense 85 couples en Belgique. [img][url=https://servimg.com/view/11739263/1206][img] https://i.servimg.com/u/f74/11/73/92/63/th/faucun10.jpg[/img][/url][/img]
Dernière édition par Matriarche3 le Mar 12 Fév 2013, 17:49, édité 1 fois | |
| | | douce teigneuse Admin
Messages : 19842 Date d'inscription : 28/10/2010
| Sujet: Re: Les deux pattes: l'alouette Mar 12 Fév 2013, 16:33 | |
| Le forum ne te rejette aucunement ! tu dois faire une mauvaise manipulation , voilà tout !! pas de parano !!! | |
| | | Matriarche3
Messages : 8740 Date d'inscription : 29/10/2010 Age : 90 Localisation : Belgique, province de Namur, Mariembourg
| Sujet: Re: Les deux pattes: l'alouette Mar 12 Fév 2013, 17:53 | |
| Il ne s'agit pas de parano crois-le bien mais depuis maintenant près de 2 si pas 3 mois je ne parviens plus à héberger d'image, de plus sur certains forums ou VOUS en mettez je ne vois rien non plus. J'ai demandé du secours mais sans résultat et pourtant sur un autre forum le Banc des Amis en Pays Mahésien entrez amis je mets ce que je souhaite sans aucun problème pourvu que l'image ne soit pas trop grosse évidemment | |
| | | douce teigneuse Admin
Messages : 19842 Date d'inscription : 28/10/2010
| Sujet: Re: Les deux pattes: l'alouette Mar 12 Fév 2013, 18:06 | |
| As tu demandé une aide à Justine ????? | |
| | | Matriarche3
Messages : 8740 Date d'inscription : 29/10/2010 Age : 90 Localisation : Belgique, province de Namur, Mariembourg
| Sujet: Re: Les deux pattes: l'alouette Mer 27 Fév 2013, 20:00 | |
| | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Les deux pattes: l'alouette | |
| |
| | | | Les deux pattes: l'alouette | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |